Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/381

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ScRag XVII. 38? ANSELME. Maispourquoi lui vient-il des idles de femmes plut6t qi?e d'autres ? JO$SELIN. C'est que ces animaux4& se fourrent par tout, malgr? qu'on en ait. ANSELME. Cela seroit bien horrible que toutes mes pr&autions fussent inutiles. JOSSELIN. Elles le ser0nt fi coup stir, et d?s ? pre- sent? je vous en donne ma paroIe. ANSELME. II n'importe: et si ie ne Duis lui cachet absolument qu'il y air des {emmet, il n? les connottra du moins que pour les haYr (t). JOSSELIN. IIne les haira point. ' ANSELME. Il les d&testera. en apprenant ce qu'elles sqavent faire... Mais qu'est-ce ci ?-- . JOSSELIN, Et c'est ce bon Paysan qui vous amine ces deux personnes? pour faire essai (2)de votre coupe. SCENE XVII. ANSELME, JOSSELIN, LUCINDE, PER- RETTE; M ? TOBIE ET GRIFFON, THI- BAUT. sans?trelgRREWWE, Pt la fendtre avec Lucinde. Le petit homme n'y est pas, vous dis-je. LUGINDE. Iln'importe. Voyons d'ici ce qui se passe, puisque nous pouvons voit fi?s. GRIvvON. Ofii, cad6dis! je bous le dis? et bous0) le soutiens; boas ?tes un yon sot, veau frere ' ' Tm?Auv. Ah ! ah ! Monsieur, au mari de Mada- me votre soeur ! P?aaevve. Madame, c'est Thibau. t. t. vat. :faire l'essai. 2. Vat.: II ne les coaao?tra que pour les hair mortellement. 3. var.: et je bous. ,