Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/386

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ToBIE Oh! pardi, mon Fermier, vous avez plus d’esprit q[te voire Maitre (,).

mais ie ,s?i bien que I e serms ?acn - merit. I aime Parterre: die est ma femme; quarid ..... �-’? *?me d’un autre, eIle ne me plairoit

la? ? ?t?,?t?a?e.?l"? ne s?ai si }e lui pIais finfirmament(2),

�serobrant. du tooins; ie ne rentre de fois ac?:zenmfoal t, I?ue ie ne }a retrouve tintdie que ie laiss?e; it n’y a pas un iota h dire. Elle aime h bati- foler; ie suis d’,h. lmeur batifolante; ie batifolons sans cesse ;’et si iem allois mettre dans la sarvetle toas vos engeingre,gmaux, adieu le batifolage. Non, palsanguoi! ie n’en fetal den

JOSSEt.?N. VoiI? cornroe ie .veu. x ?tre, et si ie me marie... (?) mais ie ne me mar,era, pas.

PERRETTE Madame, ie suis s? nlaise que }e ne PE �. "’ e embrasser s?aurois plus m’en temr. I[ faut que I a?11 notre homme?

LUClNDE Attends, Perrette; que vas-tu faire ?

Joss?[ Voilà la perle des Maris. Ami, touche-là.

THIBAUT. Votre valet.

TOBIE. Voi1à l’exemple des honn?tes gens. Embrasse-moi.

THIBAUT. Votre serviteur.

ANSELME. Voilà le miroir de la vie paisible.

THIBnUT. Votre tr?s humble.

PERRETTE. Voilà un vrai homme à femme. Oh ! que je te baiserai tantôt !

T?m?UT H? ? testi?u?! c’est Perret. te.

ANSELME. O.?e vms-le ! des Femme .

1. Dans les ?ditions modernes, on lit ici en plus: ]e ?ous le c}de.

2. Cela veut dire, sans doute, dans le patois de Thlbaut: d’une fa?on tr}s ferme, bien s?rieusement; les ?ditions mo- dernes donnent sinceremerit. ?. �ar.: Voila comme jq ?eux ?tre , si je me marie.