Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/440

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?4 0 ]E VOUS PRI?NS SANS VERDo �S.-;.A MANT. Prens, dls-?e, obli?e-moy. De ce qu'on fait icy donne-moy conno?ssance. LUBIN. Monsieur le Colonnel, parhz en conscience. S.-AMAN T. O?uoy? N'estes-v0us point mort ? S.-AMAN T. Tu le vols. LUBIN. Tout de Ne revenez-vfus point de l'autre Monde ? $.-AMAN T. Non. Je te l'a� d?ja dit, c'est pour:trsmper ma Femme; C'est pou'r mittre eft plein }bur tout ce qu'elle a dans Fame Q.9e l"ay fait publief le faux. bruit de ma mort. LUBIN; � E?le vous l'allez, Monsieur, surprendre ? v6tre abord ene s'attend past. ce retour funeste, Et son coeur bonnement vous croit mort, et le reste. S.-AMANT. '?on ? ie n'ay pas dessein si-t6t de-l'affiiger; �

?e veux dans les plaisirs le hisser en?ager,

Et faire voit i thus, 'par:seE ??joiiissances, Un bon certificat de ses extravagances. 6toit encore tr?s r6pandu au dix-sepfi?me si&le, cornroe om pent le ?oir par deux sc?nes de Ragotin (pages 249, a?o et z6:?). ., �' �