Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/461

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SC?NE XIV. 46? LO?e iadis son Beau-pere, en pareiltes douteurs, ui mir entre los mains. Je cessay mes clameurs. Mon Gendre, le voila. Je vous remets ce gage: I1 peut dans la famille ?tre d'un bon usage; �ous avez une Fille: elle a tout v6tre soin; Si vous la mariez ? vous en aurez besoin. Croyez-moy, cornroe nous ayez de laprude,nce. Tout cecy,.grace au Ciel, s'est fait dar}s le silence: I1 est certams secrets fkheux/t reveler, Et qui de rien ne ?$ait ? de den ne peut pader. S.-A M .s. N T? regardant le Contrat. gciieil de tout le monde ! Or, quelle estta puissance! DORAME. II faut ? mort Gendr% il faut tous prendre patience. Beaucoup d'honn?tes gens sont dans le?m?me cas'? ?eu'on ne console point avec de bons Contrats: R prenez la douceur, c'est la plus belle voye. " SC'EN E XIV. ? S.-AMANT, DORAME, LUBIN. LOBIN. '?'X u'est-ce donc? voicy bien, Nlonsieur? du ?/?9?/-?%\]kl rabat-ioye: {?Jj Est-ce flue nos plaisirs-s'en iront ? vau- ?[z,? l'eau ? . . Nous sommes attroupez tretous dessous l'ourmeau ? N'attendant tm'un signal pour faire icy gambade; Et vous venez? dit-on, aesaccorder l:aubade. Madame v6tre Fille esl pleurarite en un coin; Monsieur v6tre Neveu grommele sur du loin ? Camus en chien d'Artois d'avoir compt$ sans h6te. O?el' revers ! 'qui'l'auroit pans&'? c'est v6tre faute;