Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/474

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474 -AcHI I.I.E. Vous l'estes: plaire ainsi, c'est estre souvera?ne. La beautd, dont les traits mesme aux Dieux sont si doux, Est quelque chose encor de plus puissant que nous. Tout vous dolt assurer de ma persdvdrance N'allez oint d'un hymen corrom re l'es &ance .P . P , P � Q?e sz vous ne pouvez vous vamcre la-dessus, D?s demain... BRtSEiS. Non, seigneur. ACHILLE. 3e ne vous presse plus: Attendohs; ?a}s taschez au tooins d'estr? tranquiile. BR?S?]S. Est-ce une chos% hdlas ! ? nos cceurs s{ facile ? ACHILLE. Vous-mesme, vous voulez qu'on differe ce }our ('). BRISEiS. Seigneur, he cherchez point de raison dans l'amour. J'en dis trot): cet aveu vous d?plalra peut-estre. Mais quoy ! 1'5.y beau rougir, moficeeurh'est I?lus le mistre. Ce ?ue l'on sent pour vous ne se peut dtomer: Achllle ne s(jaur6it i demi trjo.m. pher.. Soulfez qu'apris ces mots Bnseis se retire (=)... . i. Premier texte: Esclave, ACHILLE. Vous esclave{ Les toys vous ont pour so?ve:raine. ?r?tr/cr?inie ?'o/fen?e' ?t );ay iiet? d? mg plain[Ire5 BRISEi$. H?las ! comment peut-on aymer et ne fien craindre? ACHILLE. Vous-mesme avcz voulu qu'on differast ce iour. 2. Premier texte: Soulfez qu'apr?s ces mots, Seigneur, ie me retire.