.486 Ac?.z. ACHILLE. ?h?enix? ie vous arveste? on s?ait quel est Achi[le. O?'il ayme? et qu'en sa tante il demeure tvanquille? Tout est ?gal: i'a?trop ?tabli mon venom: le l'?tendray plus 1oin.-Je veux qu'Agamemnon Me satlsfasse enfin, non point pa? desparolles; Sos excuses, sos dons, ses offres, sont frivoles. Aussitost qu'llion sera pris ou laiss? ? I1 verra ceque cest de rn avmr offense. ?O_.Ee tous vos chefs un, bzembrassent sa d?fense? 'en feray d'autant plti,s &Iater ma vengeance. O..�iconque entreprend?a d'entrer dans nos debats Attirera sur soy 'macleto et mort bras. ? P HiENIX. Qf?ntends- e! b. quel execs monte vostre colere! �Vous ]'attaquer la Gr&e ! une seconde mere ! O Destins ! quels forfaits ont m?cit? ces maux ? Nous reiettcrez-vous en d'?ternels travaux ? Bienheureux Ilion, nous te portons env:e: Tune vois point les tiens d&hirer leur patde. Puisse Phcenix mourir d?s .qu'on t'aura vaincu (0! A-prOs ceque 'eatends, setgneur? j'ay t?op yescu. Je m'en retourne au camp. ACHILLE. Q?oy, si tost ? Ah ! mon peve Avez-vous en horreur un ills qui vous rgvere? Je parts domain; venez honorer nostro cour. Accordez-moy, du moins, le reste de ce jour. A l'entour de ces mars tout est calme et tranquille; Je n'entends aucun bruit an camp, ny .dans Ia ville L'Aurore est avanc?e; Hector oust pnsce temps? �S'il oust voulu sortir avec sos combatans. Aux fatigues de Mars donnez quelque relasche: t. premier texte: Men, re le demier Grec d?$ qu'on t'aura
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