Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/7

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respect, bien que ce soit avec quelque sorte de repugnance ; au moins m’est-il permis de declarer que je leur dois la meilleure et la plus saine partie de ce que je ne dois pas à Terence. Quant au reste, peut-estre le Lecteur en jugera-t-il favorablement : quoy qu’il en soit, j’espereray tousjours davantage de sa bonté que de celle de mes Ouvrages.