i 3o PoesiES DIVERSES. Je ne trouve d'heureux que ceux qui pensent l'estre v J'ay parcouru les ans marquez par mes destins =. vI Soyez digne des Dieux par le m&pris de l'or a. vii Couple hureux, si mes vets sont des ans respectez,' Vos noms ne mourront point par ma muse chantez. J [es feray durer rant que la destinge Rendra Rome sob. raise aux' descendaris Tant que ceux de son sang par leurs honneun dvers Regneront.sur ces murs, ces murs sur ]'univers& viii Nous mourons tousles }ours, mais on n'apelle mort, e celle enfin qui vieni terminet nostre's. IX Elle s'agite et cherche i se voit dfilivre De la divinit qui chez elle est entree x Le pauvre seulement doit compter son troupeauL Combien de gens arms courent sur les reinpars, Et combien i la porte on voit luire de dards s . gpistre IX, tome I, p. 43. Publius Syrus. . Epistre XII tome I p. 55. 9irg. neid. IV, 654. . ERistre XVIlI tome I, p. 96. Virg. tteid. VIII 364. 4. Epgstre XXI, tome I, p. 4. Virg. neid.'IX, 446. 5. ERistre XXIV, tome I p. I4. 6. Epggtre XXvIII, tome 1, p. 6. Virg.neid. Vl, 78.. .7. Epistre XXXIII tome I, p. 9o. Ovid. Metam. XIII 824. 8. Epistre XLIX, tome lp. 6. Virg. neid. VIII
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