184 POeSiES DIVERSES. LXXXIV. VERS .4 la maniere de Neuf-Germain sur la prise de Philisbourg,. . _a chez le Turc et le Sophi, Muse, et disde Tit Cals2 V/-/Oe malgre la hd Ausbourg, - .MoNsEmmua a pris PhilisbourTu pourras jurer par mafy, C'est le digne herkier des Lis. Comment D/able, il prend cornroe un Bourg L mexpugnable Phfisbourg. Seize iours au Siee.ont suffi D autres Guerrmrs y sont vmflhs. Ce premier labeur ou labour, Donne/t la France Philisbourg. ' . ces 'vers ont paru dans les Ouvres postumes (p. 6 0. Dans ces stances disposes, comme le rappelle le titre, d'apros an procd que Louis de Neufgermain avait mis la mo.de sous le rgne pr&dent, la runion des rimes des trms premiers vets, phi lis bonrg, forme le mot exprim t la fin du quatrime: Philisbourg, 2. I1 y a Cadis, dans les Onvres postumes, ma[s il faut n&essairement life Calis, pour former le nom de Philisbonrg. Du reste; cette forme Calls tit encore fort en usage au xvt si&le. Malherbe a di b dans son Ode .4 la Reine mere du Roy, sur les heureux succts de sa Regence (vets 6): Jusqu'au rivage de Calls. Voyez les remarques de nage et de . Ludovic Lalanne /t cette occasion.
