206 POESIES DIVERSES. Sa prise les tendoit dompter plus faciles. Ni Valenciennes ni Cambray N e ssent tomM sitost, sans ce premmr essay. Philiove l'entrevrend; Bouchain voit une arme' Sous i un et I autre frere . vmncre accoustumee. Orange accourt en vain: Bouchain cMe Louis. Tenant p_resque en ses mains une double victoire, L'ennemi se retire, envieux de la gloire, Dont ce prince eat combl tant de faits inouis. XI. Prise de Valenciennesmars 677. Valenciennes estoit l'cueil de nos guerriers Elle avoit arrt e cours de nos lauriers. Ses enfants rappellolent de tristes fuMraills, Nous monstrant nos tombeaux creuss sous leurs murailles. O.uue les temps sont divers! I1 n'est que notre roy, i se puisse ranter d'avoir touiours pour sol La faveur du dieu des baiailles Bientost-cette cit rut soumise ses lmx. Nous pourions nous yenget des pertes d'autrefois; Le soldat renona de luiLmme au pillage; II eut horreur d'un droit acquis son courage. Ce miracle n'est dh qu'au plus clement des rois. XII. Prise de Cambray. Cambrayportoit son nora aux terres inconnues; Ses plus tiers ennemis n'osoient en approcher; Ils passoient; el/ce lieu, plus ferme qu'un tocher, Gardoit un air tranquille,-et menaoit les hUeS; Q'ont servi ses chateaux, ni leurs cimes chenues ? Ce rempart s'est soumis; c'estoit le seul recours O.e I'IMre oppos/tt au cours
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