Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 5.djvu/242

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2,4.2 APPENDICE. IX. DES RATS ET DU CHATS. n Chat tres fin dans son eSPece, Par rant de tours subtils avoit dup les Rats, .iO'ils condurent enfin dans Un

vieuX galetas - ' 

De ne se plus laisser surprendre son addresse. Sous ]es ais d'un double planchef Ils crurent fi propos d'aller tous se cacher, O/x tapis et mussez ils tenoient leur menage. - O_i Jut bien tonn ce fut maitre Matou; Oui ne les royant plus, alloit fi chaque trou F]airer du bout du nez pour trouver un passage. Wen trouvant point, dpit le prend, Et crbyant par une amusett ' Les tirer hots de leur cachette, II voit une cheville, et par les pis s'y pend, Contrefaisant la bte morte. On efit dit un souflet & son crochet pendu. Un rat sort, deux, puis trois, puis un plus entendu, Vieux Rat gris menton, qm ]e 1orgna de sorte Qu'i] connut au crochet le soutier pretendu. Rntrons, amis, renttons, dit-i] f6'u qui s'y fie, Ta poudre est vaate et tes tours superflus, Tant de fois atrapez, on ne s'y cornmet plus, Et si tu m'y'tiens de ta vie, Si iamais tu me vois g ta dent me risquer, Je te permets de me croquet. . pour cette pi&e et les sept suivantes voyez pages 223229. i c'est lfi un premier essai de la fable intitute: Le Chat et,,n Vie,,x Rat (T. [, p. !o8), ta Fontaine l'a singulitremerit amlior&