POiiSlES DIVERSES. XIX. POUR LA REINE En suite de'la 'BaIade prdcdente '. .Is sont partls, les Jeux les Ris, les Graces, Nous les verrns au temps que i'ay , prdit. Le Dieu d Amour, qu/marehe sur [eurs traces, . De les compter l'autre iour entrepro: ' i Le pauvre enfant pensa perdre I espr t Ign calculant,-rant la somme estoit. haute. Bon, ce dii-il, nous allohs moissonner; Car le Climat doit en creurs oisonner. Petit Amour, vous comptez sans v6tre h6te; Tout ['Univers n'en s(;auroit .rant donner, O_e nostre Reine en metire sans faute. Je deois donner des Madrigaux en d'autres temps, et voicy ce que j'enoyay pour un de ces Termes. X,X. DIXAIN. A M .... 2 i}.edans mesers on n'entend plus p.a.rler.
- '? '?De 'vos beautez, et Clio s'en est p?.n. te.
,J'ay rapondu qu'il n'appartient d'ater ' Atoutes gens, cornroe on dit, Corin.the.
Piece pubti& par' La Fontalne dans res .Fables nouelJs et autres osies 67 (P 85); il ne l'a pas reproite en t685 dPns les O,ragis de prose et .de p.o.ie..
2. Ce Dixain et [e .Sixain .suivant ont .te :pureres aans