Sur ce que M… souhaittoit un plus grand nombre de petits outrages que celuy qu’il avoit receu ; les deux pieces suivantes luy furent envoyées pour supplément.
XXIII.
DIXAIN.
A M...
Trois Madrigaux, ce n’est pas vôtre compte,
Et c’est le mien ; que sert de vous flater ?
18 , par Chardon de la Rochette, h la suite de l’ttistolre de la ie et des ouYrages de La Fontaine (page 124. Voyez ci-dessus page 8, note). Nous la platohs ici h cause de son 6troite analogle avec la piece prc6dente dont elle n’est lucre qu’une rdacfion diffrente. Nous royohs du reste par Ie lremier vets du .dixaln suivant:
Trois Madrigaux, ce n’est pas v6tre compte
que ha Fontaine, qui n’a insr6 que deux pices dans les ourrages de prose et de posie, en avait r{ellement adress trois/t Fouquet. Peut-être celle-ci était-elle du nombre et a-t-elle gtg supprime prcisment en raison ’de sa trop" grande ressemblance avec celle. qui la prcdait. I. ette piece etla suivante, adresses t Fouquet ont t publiges en 1685, dans les Ourrages de p rose et de posie des S ’* de Maucroix et de La Fontaine (tome I, pages 119 et ?2?), oh elles sont pr?cgd?es du petit avertissement de Ca Fontaine que nous yenohs de reproduke. M. Robert a fait lithographler l’autographe de ce dlxaln dans les Fables inddites des XII ?, XIII ? et XIV* si?cles.-- Paris, I825, 8 �me I, p. xru. II y porte pourtit’re: Epigramme t? Mortseigneur le Surintent?ant, qul ne s’estoit gas content? de trois madrigaux d la dernitre S’. Jean. La Font. V.
