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Page:La Fontaine - Fables choisies, Barbin 1692, tome 3.djvu/193

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Reviendrois-tu pour cet appeau :
Laiſſe-moy fuir, ceſſe de rire
De l’indocilité qui me fait envoler,
Lors que d’un ton ſi doux on s’en vient m’appeller.
Si tu voyois mettre à la broche
Tous les jours autant de Faucons
Que j’y vois mettre de Chapons,
Tu ne me ferois pas un ſemblable reproche.