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POËME
DU
QUINQUINA.

SECOND CHANT.

 
ENfin graçe au demon qui conduit mes ouvrages,
Je vais offrir aux yeux de moins triſtes images ;
Par luy j’ay peint le mal, & j’ay lieu d’eſperer
Qu’en parlant du remede il viendra m’inſpirer.