SCÈNE VII.
(42) Et pour un culte impur… La liberté !… La liberté se nommait chez les Grecs, Apéga : elle était représentée avec des pointes de fer.
Voici une chanson que j’ai faite sur cette liberté, à l’époque du treize vendémiaire.
Air : Comment goûter quelque repos.
Pleurez, ô Français malheureux !
Donnez des regrets à vos frères ;
Que de monstrueuses chimères
Ne détruisent point nos neveux.
Vous aviez trop d’avoir un maître,
Vous nous en donnâtes sept cents ;
Vous avez appris par le tems,
Ainsi que nous à les connaître. (bis.)
Jadis, sous le règne des rois,
Chacun était heureux en France ;
Vous jalousâtes leur puissance,
Et vous nous donnâtes des lois.
De la liberté, le génie,
Vous les fit nommer des tyrans :
Vous couronnâtes des brigands
En adorant une furie. (bis.)