Page:La Gaudriole de 1860, 1861.djvu/152

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Aux doux sentiments qu’il confesse,
Je sais que Ton se rend,
Que votre cœur, à sa tendresse.
N’est pas indifférent.

— S’il devine que j’aime Pierre,
L’oracle est érudit ;
Votre petit doigt, ma grand’mère,
Sait très-bien ce qu’il dit !
Ah ! ah ! ah ! ah ! ah ! ah ! ah ! ah !
Votre petit doigt, grand’mère,
Sait très-bien, sait très-bien, sait très-bien ce qu’il dit.


La musique se trouve chez M. Chaillot, éditeur, 354, rue Saint-Honoré, à Paris.




PANDORE OU LES DEUX GENDARMES.
CHANSON
Chantée par M. Levassor
Paroles et musique de M. Gustave Nadaud.


(Le brigadier doit avoir l’accent gascon et Pandore l’accent alsacien.)

Deux gendarmes, un beau dimanche,
Chevauchaient le long d’un sentier ;