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Page:La Harpe - Abrégé de l’histoire générale des voyages, tome 28.djvu/308

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» Nous sommes venus à bout de recueillir trois ou quatre cents mots ; et parmi ces mots il y en a qui expriment les nombres jusqu’à cent mille : les naturels ne comptent jamais au delà. Il paraît qu’ils en sont incapables ; car nous observâmes qu’arrivés à ce point, ils se servent ordinairement d’un mot qui désigne un nombre indéfini. »


FIN DU VINGT-HUITIÈME VOLUME.