che, il donnera du blé au propriétaire selon le rendement du voisin, et le champ qu’il a laissé en friche, il le rompra en terre cultivée, l’ensemencera et le rendra au propriétaire.
Si un homme a pris à ferme pour trois ans une terre inculte pour l’ouvrir, s’il s’est reposé et n’a pas ouvert la terre ; — la quatrième année il devra la rompre en champ labouré, louer et ensemencer et rendre au propriétaire, et lui mesurer 10 gour de blé par 10 gan de superficie.
Si un homme a affermé son champ à un laboureur pour un revenu, et s’il a déjà reçu ce revenu, quand ensuite un orage inonde le champ et emporte la moisson, le dommage est pour le laboureur.
S’il n’a pas reçu le revenu de son champ, et s’il avait affermé pour moitié ou tiers, propriétaire et laboureur partageront proportionnellement le blé qui se trouvera dans le champ.
Si le laboureur, parce que dans la première année sa ferme n’est pas encore montée, a chargé un autre de labourer le champ, le propriétaire ne molestera pas (pour cela) son laboureur ; son champ