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Page:La Messaline française (éd. 1789), 1789.djvu/77

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couronne ; elle avoit également les cuisses très-écartées : je m’étendis à mon tour sur Agathe, et pendant que je l’exploitois, je baisois alternativement et la bouche d’Agathe et le bijou de la duchesse ; enfin, ma langue se fixa sur ce dernier, je la dardois avec rapidité : je dévorois, je suçois l’intérieur de ses levres, son clit… La duchesse ne peut long-tems supporter l’excès de volupté que ma langue lui procure. Bientôt elle succombe à ses transports… Les réservoirs du plaisir sont ouverts, je reçois la liqueur qui en découle. Elle redouble ma vigueur qui bientôt est anéantie, en même-tems qu’Agathe se pâme entre mes bras.

Telle a été la vie que j’ai menée pendant très-long-tems avec la duch… de Pol… Un jour je lui demandai comment, avec un tempéramment