Page:La Mettrie - Œuvres philosophiques, éd. de Berlin, Tome second, 1796.djvu/251

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gens favoris, Ufe met tau* <* "Niktt* ftrwfct* dk-41, et* èàe* «wvçuMtt,, &wr 4«$0ër jn* 4k /NMtvWr, & «m nfurpm ^vi*V * **$W A Jùmifwk frw& «fes Iwrs* $ de /rire Jfrmr 1»*^ Quelle fond» î Mai* il* wlfern Ct«U h Herculienne» Un léger ttaduàeur de ftttffNtt «t/Kt»t»A» de M», dont il m ràit quVtéra * corrompre te fens, de qu’il met m put, mtat fans corriger les fautes dlmpreftion , ktyietict il v* plutôt augmenter par fi» ignorance à volati» litè ; un auteur « dh»jc, qui a enpié rhommc plant* de quelque diffcrtation de AfK LiH*#ut » dont le titre *[ fonfili* pt*nuntm> dans laquelle let (leurs fontcnmparécs avec l’homme ; un héros enfin » qui prend généralement touteslcs fetencts férkuftt pour des bagatelles de pédanterie» , e’eft à la vérité THtreuh de l’arc-boutant de la république des lettres ; c’est, dis-je, le hérot, qui pourrait tourne ? la pierre fondamentale de la barbarie, de renvcrler les faux principes far lefquels elle roule.

À propos de thomm pUntt> ma chère , je faU que vous aimes les grottes « les Jardin* , les ftmtaines, les plantes, lev livret qui fbntcVrlfi là-dessus. C’est pourquoi je vous aurais sans doute communiqué l’homme plante. Mais, ma chère, j’eus à ménager le caractère, la modestie, la pudicité de la vertu, qui règne dam vos veines, Ce n’eft qu’un effet digne de son auteur le d’une tête