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Page:La Mothe Le Vayer - Soliloques sceptiques, 1670.djvu/16

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ampliùs facias, nunc tibi ignoſco. De tels Soliloques, & ceux du Docteur de la Grace, m’empeſcheront bien de les condamner, comme pluſieurs ont fait. Mais puiſqu’il n’y a rien de plus naturel, ni auſſi de plus ordinaire aus hommes, que de ſe tromper, pardonnons aus autres leurs erreurs, afin qu’on excuſe les noſtres.

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