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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/103

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dis-je, ma tête sans couronne ? Si près du trône, pourrais-je éprouver des rigueurs ? Pouriez-vous y prononcer un refus ? — Et vos sermens en entrant ici, me répondit-elle en se levant ? — J’étais un mortel, quand je les fis ; vous m’avez fait un dieu : vous adorer, voilà mon seul serment. — Venez, me dit-elle, l’ombre du mystère doit cacher ma faiblesse. Venez… »

En même tems elle se rapprocha de la grotte. A peine en avions-nous franchi l’entrée, que je ne sais quel ressort, adroitement ménagé, nous entraîna.

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