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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/111

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tirant à elle, en pompant tous les baisers que lui prodiguait ma bouche, elle introduit avec intelligence dans la mienne une langue mince et non moins frétillante que celle de sa belle maîtresse. Cependant une autre main parcourait onduleusement toutes les parties charnues et élastiques de ce corps charmant, qui n’avait d’égal en souplesse comme en beauté, que celui de madame de Terville. Leur frémissement spontané, sur-tout quand je fus parvenu à la source des plaisirs, et que je m’agitai légèrement les pa-

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