Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/20

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connais un peu, et je crois que vous en serez content. On nous reconcilie ; il y a six mois que cela s’arrange, et il y en a un que nous nous écrivons. Il est, je pense, assez galant à moi d’aller le trouver. — Oui ; mais s’il vous plait, que ferai-je là, moi ? A quoi puis-je y être bon ? — Ce sont mes affaires ; j’ai craint l’ennui d’un tête-à-tête : vous êtes aimable, et je suis bien aise de vous avoir. — Prendre le jour d’un raccomodement pour me présenter ! cela me paraît bisarre ! — Vous me feriez croire que je suis