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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/24

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ment à mes yeux ; j’avais, par suite du même choc, glissé rapidement ma langue entre les lèvres amincies et divines de madame de Terville ; lorsqu’on se débarrassa de moi brusquement, et qu’on se rejetta au fond du carosse. Il était tems, car les effets de ce baiser commençaient à opérer une prodigieuse révolution dans toute ma personne. « Votre projet, me dit-on, après une rêverie assez profonde, est-il de me convaincre de l’imprudence de ma démarche ? » Je fus embarrassé de la question. « Des projets !…