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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/26

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qui était rétive à l’exprimer. Un air languissant ne montrait en lui le besoin d’une réconciliation que pour des raisons de famille. La bienséance l’amena cependant jusqu’à la portière. On me présente, il offre la main, et je suis, en rêvant à mon personnage, ravi en admiration de la souplesse, de l’agilité de corps et d’esprit, de la svelte et charmante madame de Terville, dont les attraits me trottaient dans la tête et m’enflammaient le sang.

Je parcours des salons décorés avec autant de goût que de magni-