Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/32

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elles devenaient toujours plus intimes et plus intéressantes.

Elle m’avait d’abord donné son bras, dont j’avais admiré la rondeur, la blancheur et la fermeté ; ensuite ce bras s’était entrelacé, je ne sais comment, tandis que le mien la soulevait, et l’empêchait presque de toucher à terre. Cela n’empêchait pas mes doigts, singulièrement agiles, de froisser les alentours de sa gorge qui fléchissait sous le toucher, mais avec une élasticité convenable. L’attitude était agréable, mais fatiguante à la lon-