Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/36

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laissé quelques nuages. (Et cependant mes doigts, comme sur le clavier de l’amour, ne cessaient de voltiger sur cette gorge divine.) » Que faut-il donc, lui repartis-je, pour vous rassurer ? — Vous le pouvez. — Eh ! comment ?… vous ne devinez pas. — Mais… je souhaite d’être éclaircie. — J’ai besoin d’être sûr que vous me pardonniez. — Pour cela, que faut-il ? — M’accorder franchement, à l’heure même, ce baiser surpris tantôt par le hazard, et qui a paru vous effaroucher. — Que ne parliez-vous ?