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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/45

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— N’ai-je pas le même reproche à vous faire ? et vous-même n’auriez-vous point paré à bien des choses, si au lieu de me rendre confident d’une réconciliation avec un mari, vous m’aviez parlé d’un choix plus convenable ! Verseuil… — Un instant, s’il vous plaît : songez qu’un soupçon seul nous blesse. Pour peu que vous connaissiez les femmes, vous devez savoir qu’il faut les attendre sur les confidences… Revenons : où en êtes-vous avec madame d’Arbonne ? Vous rend-t-on bien heureux ? Ah ! je crains le contraire ;

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