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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/96

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ses paupières, et donnait à ses regards une langueur plus intéressante, une expression plus douce : le coloris de ses lèvres, plus vif que de coutume, relevait l’émail de ses dents, et rendait son sourire plus voluptueux : des rougeurs éparses çà et là relevaient la blancheur de son teint, et en attestaient la finesse. Ces traces du plaisir m’en rappelaient la jouissance : enfin elle me parut à la lumière plus séduisante encore que mon imagination ne se l’était peinte dans nos plus doux momens. Le lambris s’ouvrit de