Page:La Pléiade, 1921.djvu/166

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Des fleurs s’endorment dans l’aurore ;
Le soir abreuve les troupeaux ;
Ce qu’à jamais mon cœur ignore
C’est le silence et le repos.

Sur ses rives désespérées,
O toi, mon Amour, ma Vertu,
Eternellement n’entends-tu
Ce bruit immense de marées ?