Page:La Psyché, Volume 4, 1829.djvu/245

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Et des voix murmuraient : « Tu n’es plus orpheline ! »
Soudain je crus sentir un baiser maternel…
Sous ce premier baiser tressaillant tout entière,
Je rouvris la paupière…
Hélas ! j’étais encor seule au pied de l’autel…

Et, voyant le bonheur fuir sans pouvoir le suivre,
Je regardai le ciel…, et je pleurai de vivre.

Madame M. Waldor.