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fort heureusement dégagé des petites compromissions politiques, dans lesquelles je m’excuse de l’avoir fait entrer, s’est élevé à la hauteur d’une querelle littéraire, je n’éprouve aucune gêne à accepter l’offre que vous voulez bien me faire. C’est avec le plus grand intérêt que je parcourrai les manuscrits que vous mettez aimablement à ma disposition. Je me féliciterai d’y pouvoir mieux apprendre encore comment vous entendez ce travail d’émondage qui constitue, selon vous, la tâche du traducteur.
Veuillez croire, Monsieur, à ma sincère considération.
Adrien Souberbielle
Paris, 7 mai 1900.