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Page:La Revue blanche, t8, 1895.djvu/246

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proche, l’œuvre d’art ; ce suffit, à l’opposé des ambitions et d’intérêts.


Tel que se tourne aux faits le souci proposé par un essai ici de reportage spacieux, aérant, de mois, l’actualité, je ne traiterais un retour de la noblesse, pour continuer avec le mot

— Ah ! vraiment

— On dirait qu’il en faut une

— Paraît-il

— Certains s’y mettent

— Le besoin se fait sentir
indomptablement sans la croire, à un degré subtil, profond, elle, nécessaire. Quand aussi ce serait pour balayer, avec mon indication, une ignominieuse erreur qui obstrue, comme dégel, la voierie du siècle.

Issue, j’atteste, du soin déployé le plus pur ou de justice.

Si pareille méprise pouvait tout de bon se produire : ou que l’exagération du principe ne fût un flagrant désespoir afin de le fausser, avec ruse.


Aidons l’hydre à vider son brouillard. On a dit, par vocifération et le silence, à des masses : Tout appartient — en le domaine — se doit à votre admiration — et, faute de quelque chose à désigner, on les lâcha sur l’art. Non, qui trafique, non, qui pioche, combien cette journée fut lourde à la gent, elle dormira ouïe au sac où le métal, intérieurement, sert de rêve : sans, au reste, s’inscrire à l’immortalité de chaque jour qu’répand la soirée, en esprit. Ou, du moins, repose, toi, dans ta simplicité bénie de tâche assurant ce qui est aussi, le pain, dont toute trompette de clartés répercute, avec gratitude, la gerbe juste initiale.

Oh, qui leurra vers ici une émeute affamée ?

Avec des proportions de multitude, surgisse le simulacre en torchis et dorure, fallacieux, pour arrêter l’irruption nouvelle, devant le mensonge de voile : tous n’y ressentiraient qu’ennui ; car au fond de chacun persiste un lampion que si c’était cela, la merveille, elle ne serait pas.. Le pis — on leur jura, mais on ne les trompa tout-à-fait — que notoirement on réclame de l’unique