Page:La Rochefoucauld - Œuvres, Hachette, t1, 1868.djvu/586

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

45o TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE C’est la vanité qui a produit la maladie de la folie, Hd- fl es ions diverses, p. 3li. Force (e«^e«ern/). Nous en avons assez pour les maux d’autrui, maxime 19. — Nous en avons plus que de volonté, 3o; et moins que de raison, 42. — Pourquoi il faut avoir la force d’être méchant, l’iy. Force (de Pâme, du caractère . Voyez FERirexÉ. — Ce n’est pas par elle que nous résistons à nos passions, maxime 122. — Pas de bonté sans la force d’être méchant, 237. Force (de Pesprit). La modéra- tion l’affecte, maxime 18. — Elle tient à la bonne disposi- tion des organes, 44- FoRTu>-E (sort, hasard). Voyez Accidents, Bosheur, Etoile, Occasion. — Elle arrange nos vertus, maximes i et 63 1. — Moins capricieuse que notre humeur, 45. — Notre humeur met le prix à ce qui vient de la fortune, 47- — La fortune fait les héros, 53. — Elle produit nos grandes actions, 57. — Elle décide de la louange et du blâme, 58. — Elle fait tout pour ses favoris, 60. — Le bonheur et le malheur n’en dépendent pas plus que de no- tre humeur, fii. — Ce n’est pas le hasard qui doit nous faire trouver la raison, io5. — C’est la fortune qui met en œuvre le mérite, i53. — Elle nous cor- rige mieux de nos défauts que la raison, i54. — On ne juge des gens que par leur fortune, 212. — Il y a des gens qu’elle contraint de faire des sottises, Sog, — La sagesse est à sa merci. 353. — Il faut savoir profiler de sa fortune, 343. — Elle découvre les qualités ca- chées, 344; ^S vertus et les vices, 38o. — A qui elle paraît le plus aveugle, 391. — Ma- nière de la gouverner, 392. — 11 y a une élévation qui ne dé- pend pas d’elle, 399. — Com- ment elle nous élève quelque- fois, 4o3. — Elle gouverne le monde, 435. — Ce qui arrive quand elle nous élève subite- ment, 449- — On ne peut ré- pondre de sa fortune, 574. Des modèles de la nature et de la fortune, Réflexions diver- ses, p. 3i5-322. — Comment la fortune s’accorde avec la na- ture pour faire des hommes extraordinaires, p. 3i5; quelle y est sa part et celle de la na- ture; ce qu’elle a fait pour Alexandre, Jules César, Pom- pée, Caton d’Utique, le grand Condé etTurenne, p. 3 1 6-32 2. — Voies qu’elle ferme aux vieillards, p. 346. Fortuxe (condition). Voyez Con- dition. — Ce qui rend les for- tunes égales, maxime Si. — Les folies proportionnées à la for- tune passent pour sagesse, 207. — Ce qui change les fortunes , 625. L’air et les manières chan- gent avec la fortune, Réflexions diverses, p. 288. Fortume i^ bonne et mauvaise). Voyez Bokheur, Malheur. FùRTi XE (Faire). Voyez Eléva- tion. FocRGOK. La pelle se moque uu fourgon, maxime 5o~. FouR!»ns. Leur préovance et leur économie, Réflexions di- lerses^ ]). 3o9. France [La). Au siècle de la Ro- chefoucauld, on voit paraître dans ce pavs tous les crimes de l’antiquité, Rc flexions di- terses, p. 343.