DES OKUVRES MORALES.
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est la moins excusable, Ec- [ fierions diverses, p. 343. Léopotd /*, fiiipprenr d’Alle- magne. Son faible caractè-re et .sa grande puissance, Réflcrions diverses, p. 338. LÉTHARGIE. Par quelle passion cette maladie est produite, Rè’ /Jetions diverses^ p. 3ii. Liancourt. Cette terre comparée à celle de Cliantillv, Ré flexions diverses, p. 281 . Libéralité. Voyez Donner. — Ce qu’on donne le plus libé- ralement, maxime iio. — La libéralité est moins opposée à l’économie que l’avarice, 167. — Elle n’est que vanité de donner, 263. Dans quel cas des libéralités sont égales , quoique diffé- rentes, Réflexions diverses, p. 279 et 280. Liberté. Dans le monde, il faut que chacun conserve la sienne, Réflexions diverses, p. 283. Lieutenants généraux. Beau- coup apprennent à paraître maréchaux de France , Ré- flexions diverses, p. 289. Lièvre. Cet animal a peur de tout. Réflexions diverses, p. 3og. Limites. Voyez Bornes. — Celles de la coniiance sont difliciles. Réflexions diverses, p. 296. Lion. Cet animal garde quelque apparence de gcuiérosité. Ré- flexions divei-ses, p. 307. Livres. Il vaut mieux étudier les hommes que les livres, maxime 55o. Loi. Quelle est la moindre et la plus suivie, ma rime 447* Louange, Louer. A quoi tient qu’on loue nos actions, maxime 58. — On loue à tort la pru- dence , 65. — L’envie con- tiainte de louer le mérite, 90. — On loue son cœur; on n’ose louer son esprit , 98. — On donne des louanges pour en recevoir, i43. — La louange est toujours intéressée; com- ment on la donne et comment on la reçoit, i44. — Louanges empoisonnées, i45. — Pour- quoi on loue, 146, 53o et 533. — On préfère la louange au blâme utile, 147. — H y a des louanges qui médisent, 148. — Pourquoi on refuse les louan- ges, 149 et 596. — Leur effet, i5o et 598. — Pourquoi on loue Con dé et Tu renne, 198. — Quelle est la seule bonté loua- ble, 237. — De ceux qui ont mérité de grandes louanges , 272. — La magnanimité est un moyen d’obtenir des louanges, 285. — Louange injurieuse, 320. — Ceux qu’on louedebon cœur, 356. — Louer les belles actions, c’est s’y donner part, 432. — C’est pour être loué qu’on se blâme, 554- — Pour- quoi on loue la vertu, 597. D’une façon de louer en blâmant , Réflexions diverses , p. 328. — Le titre de bel esprit n’est plus une louange, p. 329. Louis XIII, roi de France. II fait emprisonner sa mère, Ma- rie de Médicis, Réflexions di- verses , p. 332. — Défiance réciproque entre lui et le car- dinal de Richelieu ; il lui sa- crifie néanmoins Cinq-Mars, et suit aveuglément les volontés du cardinal, p. 334 et 335. Louis XIV^ roi de France. Sa liaison étroite avec le roi d’Angleterre Charles II; il lui donne des sommes considé- rables; il accorde la paix à l’Espagne, à l’Allemagne et à la Hollande, Ré p exions diverses , p. 339. — Comment il di- vise habilement ses ennemis;