Page:La Rochefoucauld - Œuvres, Hachette, t1, 1868.djvu/601

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DES ŒUVRES MORALES.

nne élévation naturelle qni est encore au-dessus fie lui, 399. — Il a du mérite sans éléva- tion, 400. — (’e qu’est pour lui l’élévation, ijoi- — Comment il est parfois rceom|)ensé, .(o3. — Des emplois qui sont au- dessous et au-dessus de notre mérite, 4 ’9- — Comment on doit juger du mérite, /j. — Comment le monde juge du vrai et du faux mérite, /ô3. — Ce que dure le mérite des fem- mes, 474- — ^’^ n’est pas pour leur mérite que nous regret- tons nos amis, (119. Quel est le plus grand mé- rite de la société des hon- nêtes gens, lié flexions dU’crscs, p. 282. Métamorphose. Les transforma- tions de l’amour-propre pas- sent celles des métamorphoses, maxime 5H3. — Ce que fait l’orgueil lassé de ses métamor- phoses, 568. Métier. La valeur en est lui pour les simples soldats , nia.iirne 214. — De celui des honnêtes femmes, 367. Quel est le métier du renard, Réflexions diverses, p. 307. Migraine. Les procès la don- nent , Réflexions diverses, j). 3ii. Mine. Voyez Air, Apparenci s. — Chaque sentiment a ses mi- nes propres, maxime 255. — Chaque profession affecte une mine, 256. Miracle. Le plus grand miracle de l’amour, maxime 349- Moue. On la suit pour louer et hlàmer, maxime 533. Modèle. Voyez Originalx. — Des modèles de la nature et de la fortune, Réflexions diver- ses, p. 3 1 5-322 ; comment elles s’entendent pour en former La Rochefolcali.d. i d’extraordinaires, p. 3i5. — Alexandre le Grand est un modèle d’élévation et de cou- rage, p. 3 16. Modération, Modéké. D’où vient la modération des gens heu- reux, maxime 17. — Sa défi- nition, 18, 293 et 565. — Elle e-^t inconciliahle avec l’amhi- tion, 5.93. — Potirquoi on en a fait une vertu, 3o8. — ■ Com- parée à la sol)riété, 5()6. — Ce qu’est la justice dans les juges qui sont modérés, 579. Modestie. Pourquoi elle refuse les louanges, maxime 596, Monde. Voyez Société. — Ce qu’on fait pour s’y établir, maxime 56. — Ce qui v fait le jilus de mal, 64. — On y veut être de bonne compagnie, 141. — Ce qui nous attire son es- time, i65. — Il récompense moins le mérite que ses appa- rences , 166. — Il n’est com- posé que de mines, 9.56. — De certains hommes qu’il aj)j)rou- ve, 273. — Pourquoi on ap- prouve ceux qui y débutent , 280. — Ce qui le gouverne, 435. — Comment il juge du faux et du vrai mérite, 455. — Comment les jeunes gens y doi- vent débuter, 495« — Ce qu’il nomme vertu , 606. — Après tout, l’ordre y règne, 6i3. — Ce qui y change les fortunes, 625. Ce qui porte les vieillards à se retirer du commerce du monde, Réflexions diverses, p. 345; ce qu’ils doivent lui caclier; ils s’affranchissent de sa dépendance; ils l’oublient, et en sont oubliés, p. 347- Mon-naie. La flatterie est une fausse monnaie, maxime i58. — Les hommes ont leur cour» comme la monnaie, ()o3.