Page:La Saga de Gunnlaug Langue de Serpent, trad. Wagner, 1899.djvu/12

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… Et vraiment, quand j’y pense, je ne sais ce qui mérite le plus de respect, d’une de ces œuvres enthousiastes, écloses toutes bouillantes dans la pensée d’un homme de génie, ou d’une de ces œuvres candides, issues du sein du peuple, et grandies avec le peuple, œuvres de famille, œuvres saintes, que la poésie couronne de ses fleurs les plus belles, et à qui les siècles donnent l’autorité de l’histoire.
(X. Marmier : Lettres sur l’Islande, ch. VIII.)