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VINGT-NEUVIÈME MANIÈRE.

Les Tours de force.

L’art de la fouterie fait chaque jour de nouveaux progrès, surtout en France : on ne peut se lasser de le répéter ; aussi les étrangers viennent dans notre patrie pour se former et faire leur éducation.

Les hommes, les femmes des autres nations baisent machinalement et sans goût ; ils ne savent que mettre tout bêlement une pine dans un con, remuer le cul, décharger, s’essuyer ensuite la courte et boutonner leur culotte. Les femmes sont aussi godiches. C’est comme si on foutait son vit dans une planche à bouteilles. Mais quand elles ont passé entre les mains d’un Français, alors elles ont une allure onduleuse, elles vont sous l’homme comme un cheval dressé par Franconi. Alors, il leur est permis de se mettre en circulation, sans cela, néant.