joux de sa toilette, et trouvant dans l’un des carrés, le galant manuscrit, il crut, sur la foi du titre, pouvoir le mettre dans sa poche et se l’approprier, tant comme un meuble inutile à la demoiselle C…, que comme un à-compte sur ce qui devait lui revenir pour son droit de courtage.
Quoique, suivant les lois civiles, M. l’agent ait eu tort, néanmoins vous ne pouvez, messieurs, vous empêcher de lui avoir une certaine obligation, puisque, sans cet heureux larcin, le recueil serait encore ignoré, et que, grâces à son intimité avec madame Eustache, vous êtes en état de reconnaître les soins flatteurs de la demoiselle C…, et, ce qui n’est pas à négliger, de sentir tout le prix d’une épître dédicatoire de la façon de M. Fendlair.
Après avoir dit pour la justification de ce dernier, tout ce qu’il était possi-