lui plaît, ou à laquelle il peut donner le postillon. Sa langue chatouille le clitoris ou bouton, et goûte ainsi le foutre par la bonde, pour nous servir du terme de l’art. La femme a le vit dans la bouche et le suce. C’est ainsi que le Saint Père aspire le vin du calice à Rome. On voit que cette manière réunit l’agréable à l’utile, et qu’après s’être livré à ce petit exercice, on n’est pas neuf pour déguster une pièce de vin, n’importe de quel cru. On acquiert ainsi la réputation d’un fin gourmet.
Et l’on peut dire alors avec raison :
Oui tout est bien con chez la femme,
Amis, je l’éprouve souvent.
Je la fous au gré de ma flamme,
Ou par derrière, ou par devant. (bis.)
Mais l’attitude qui me touche,
En gourmet qui connaît le bon,
C’est de décharger dans sa bouche,
Tandis que je suce son con.