VINGTIÈME MANIÈRE.
À l’Écuyère.
Il faut être bon écuyer et avoir un cheval bien dressé pour faire usage de cette manière de foutre.
L’homme est tout nu et se met à califourchon sur le cheval, de manière à ce qu’il tourne le dos à sa monture. Il bande ; la femme se met sur lui, s’enfonce le vit dans le con ; alors elle pique des deux, le mouvement du cheval les dispense l’un et l’autre de remuer le cul ; c’est un travail de moins. Si le fouteur bande solidement, ils peuvent tirer ainsi trois ou quatre coups.
Nous avons vu en province une orgie semblable célébrée à huis-clos. Sous le prétexte d’une répétition générale, il y avait dix hommes et dix femmes à cheval, les musiciens étaient à l’orchestre, tandis que les écuyers foutaient au galop et tout en jouant un air analogue. Les musiciens foutaient leurs