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VINGT-TROISIÈME MANIÈRE.

Recette pour guérir les Bande-à-l’aise.

Lorsqu’un fouteur en est venu au point de faire long feu, de rater, enfin de ne plus bander, il consulte un médecin, un charlatan, qui lui conseille d’avoir recours aux aphrodisiaques, de se frotter le vit et les couilles avec de la teinture de cantharides, du musc, du borax, et autres drogues ; tout cela n’est que de la fouterie de pauvre, on bandoche un moment, on baise en vit mollet, et le remède est pire que le mal. Fouteurs ! ayez recours à la nature, c’est une bonne mère, elle n’abandonne jamais ses enfans. C’est l’imagination qu’il faut ranimer, raviver, remonter, régénérer : pour y parvenir, voici le moyen qu’il faut employer.

Réunissez chez vous cinq ou six femmes, bien garces, bien putains, bien dévergondées, qui ne rougissent du rien,