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Page:La Tailhède - De la métamorphose des fontaines, 1895.djvu/74

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J’aime la Vérité, c’est pourquoi je vous loue
Qui les Muses avez prises dans vos maisons,
Qui seuls voyez leurs yeux fleurir et sur leur joue
D’immortelles saisons.


Vous, des antiques voix rivaux et moi troisième,
Après Pindare, et trois ensemble combattants,
Ensemble nous savons vaincre par le temps même
L’éternité du temps.