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CHAPITRE XVI
OÙ L’ON VOIT UN CHALET ROUX ABRITER
UNE AGONIE
UNE AGONIE
Leysin, fin août 190…
J’ai quitté Paris comme une voleuse ; je me suis enfuie, le cœur plein de dégoût, l’âme et le corps malades…
Est-il possible que tant d’événements se succèdent ainsi en si peu de temps…
Je me sentais affaiblie, mal en train, depuis longtemps ; mais le tourbillon fou de ma vie ne me permettait pas de m’attarder à ce que je croyais un malaise banal. J’avais des sueurs désagréables, la nuit, des douleurs sourdes