pour biens, ce qui est un pur hébraïsme que l’auteur lui-même de ce livre a cru
devoir respecter dans le texte grec, et que saint Jérôme, à son tour, a voulu
conserver dans le latin.
En terminant sa lettre qui accompagne le Rescrit, le R. P. Sacchéri dit qu’il espère que les vœux de M. Glaire seront enfin remplis, et que sa version produira dans l’Eglise des fruits très abondants. S’il en est ainsi, nous n’aurons, en effet, rien de plus à désirer en ce monde ; nos derniers jours seront pleinement satisfaits ; et dans le cas où il ne nous sera pas permis d’achever nos autres travaux, nous n’en bénirons pas moins Dieu jusqu’au dernier soupir, de ce qu’il a bien voulu nous accorder la grâce insigne de contribuer à répandre sa divine parole.
![Séparateur](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/74/Sep4.svg/100px-Sep4.svg.png)