P. 13, l. 5. — Claude de Rubys, historien et homme politique lyonnais, dont il sera question plus loin.
P. 14, l. 19. — Voici le titre de ce rare volume : L’Art poétique, de Jacques Peletier du Mans déparsi en deux livres. À Lyon, par Iean de Tournes et Guil. Gazeau, 1555.
Ce titre est incomplet, en ce qu’il n’annonce pas qu’à la suite de l’Art poétique il y a une série de pièces en vers qui composent le second livre. C’est aux pages 108 et 109 de cette seconde partie que se trouve l’Ode à Louise Labé Lionnoise.
P. 14, l. 28. — La Chanson nouvelle de la Belle Cordière, dont l’auteur nous est inconnu, et l’Ode à Sire Aymon, par Olivier de Magny.
P. 15, l. 16. — Guillaume Paradin, doyen du chapitre de Beaujeu, historien lyonnais, né vers 1510, mort le 19 janvier 1590, d’après le Catalogue des Lyonnais dignes de mémoire.
P. 17, l. 10. — À la date du 9 novembre 1588, c’est-à-dire vingt-deux ans après la mort de Louise Labé et trente-trois après l’époque où elle « florissait, » le Consulat délivre à noble homme Me Antoine du Verdier, seigneur de Vauprivas, un certificat portant qu’il est habitant de Lyon depuis plus de dix ans, « attendu que, pour son habitation ordinaire, il y a acquis une maison, et, quoique pour ses affaires particulières il fasse séjour hors la ville, il ne laisse par d’aller ou envoyer au guet et garde, et de contribuer aux affaires de la ville comme vray habitant. »
P. 18, l. 22. — Le premier article de Sainte-Beuve a paru dans la Revue des Deux-Mondes du 15 mars 1854 et, dans les œuvres complètes du grand critique, on l’a imprimé au milieu des Portraits contemporains. Le second article a été publié par le Constitutionnel du 23 février 1863, et il a été reproduit dans la Bibliographie des livres relatifs à l’amour, aux femmes et au mariage, etc., Turin, 1872, t. IV, art. L. Labé. Seulement — et je signale cette singulière citation aux auteurs qui signent le comte d’I… — l’article est donné comme tiré du Journal des Débats et dû à la plume de Jules Janin.