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fâcheuse, que nous avons un grand nombre de malades à bord. Quant à moi, qui ne suis pas encore bien remis, au lieu d’aller au sud, je préférais que la frégate fît voile vers le nord. Je vous embrasse.
P. S. Le roi de Gambia ayant désiré que son fils (Pedro) fut élevé en France, M. Delajaille s’en est chargé[1].
Je remets cette lettre à Hebert, capitaine du navire de commerce la Bonne-Union.
- ↑ Voyez note 32.