Page:Labenski - Empédocle, vision poétique, suivie d'autre poésies par Jean Polonius, 1829.djvu/217

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Si tu tardes encore, ma dernière espérance
          Aura fui sans retour ;
J'aurai vu dans mon cœur se briser en silence
          La corde de l'Amour.

Alors, alors en vain tu tâcheras encore
          D'en tirer un soupir ;
Il ne répondra pas, et celui qui t'implore
          N'aura plus qu'à mourir !...